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vendredi 1 janvier 2010

TRINITÉ que patriarcale : il y manque la Femme, et ça je ne l'accepte pas. Vers la Quadrinité

La Trinité est patriarcale et mysogine-gai, elle ignore la femme.

''Au nom du père (et de Marie), du fils et du st-esprit amen (hymen ???)''


Origine Païenne de la Trinité

Le paganisme tend vers le monothéisme. Il y aurait deux sortes de paganismes. L'un tendant vers le monothéisme, celui des druides, celui des grecs antiques et la mythologie greco-romaine, celui des égyptiens, celui des iraniens, mais sous une forme 'naturalisée', une concept très imparfait, mais sous-entendant la nature unitaire de Dieu. Un autre, [conservant le caractère polythéiste] qui se rapproche de l'idolâtrie la plus parfaite, idolâtrie caractérisée par les sacrifices humains, l'exemple le plus connu étant Baal... BRITANNIQUES ET SACRIFICES HUMAINS..... César et Lucain, ont résumé le panthéon gaulois sous la forme d'une triade masculine : Toutatis, Hésus (ou Esus) et Taranis. Il semble cependant qu'il ne s'agissait pas d'une véritable triade, trois divinités associées et distinctes, mais plutôt d'une ébauche de conception trinitaire. Les druides auraient ainsi vénéré un seul dieu en trois personnes, ce qui expliquerait la relative facilité avec laquelle l'Eglise a finalement converti les pays celtes, mieux préparés que d'autres à recevoir les mystères chrétiens.

Dieu-père, Taranis a un fils, "le Grand Fils". Appelé Bélénos ou Grannos, ce qui signifie "Brillant", "Brûlant", ce dieu solaire que l'on célébrait le 1er mai par des feux de joie, avait ses temples sur les lieux élevés. Ses sanctuaires sont devenus ceux de Saint Michel.

Le mot « Trinité » n’appartient pas au vocabulaire du Nouveau Testament, ni, par conséquent, au kérygme originel de la première communauté chrétienne. C’est dans le Nouveau Testament. La
a foi chrétienne n'était pas Trinitarian. La la trinité se retrouve dans toute les anciennes religions païennes de l'europe (celtes)


UN PEU D'HISTOIRE
qu’on trouve l’essentiel de la révélation d’un Dieu qui est Trinité. Le mot n’y figure pas ; mais les trois personnes y sont clairement nommées, y agissent et s’y manifestent, à la fois dans leur distinction et dans leur unité.
La déesse primitive avait un compagnon, Cernunnos, un Dieu doté d'une ramure de cerf, associé au printemps, à la nature sauvage, aux animaux libres, à la croissance des arbres. Cerrunos était un Dieu magicien, dispensateur de sagesse.

« Les Egyptiens ont une trinité. Ils vénèrent Osiris, Isis et Horus, des millions d’années avant que le Père, le Fils, et l’Esprit Saint fussent connus ». Ce n’est pas vrai. Les Egyptiens ont une Ennéade –un panthéon de neuf dieux et déesses majeurs. Osiris, Isis et Orus étaient simplement trois divinités dans le panthéon qui étaient fermement apparentées par le mariage et le sang (pas surprenant, puisque l’Ennéade elle-même était une famille élargie) et qui figuraient dans le même cycle mythique. Ils ne représentent pas les trois personnes d’un unique être divin (la compréhension Chrétienne de la Trinité). L’accusation d’une Trinité Egyptienne ou d'un monothéisme est simplement fausse. Il n’y a pas de parallèle.

L’usage d’une hostie ronde implique le culte du soleil


La connexion païenne dans une phase plus lointaine, disant, « Le Christianisme lui-même est simplement une régurgitation de mythes païens : l’incarnation d’une divinité à partir d’une vierge, une mère et un enfant vénérés, juste comme Isis et Osiris, Isa et Iswara, Fortuna et Jupiter, et Sémiramis et Tammuz.


Quadrinité

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